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<div class="&quot;rte&quot;"><h2><strong>Graines de QUINOA (Chenopodium quinoa)</strong></h2><h2><span style="color:#ff0000;"><strong>700+- (2g) graines par sachet.</strong></span></h2><p>Le quinoa (Chenopodium quinoa) est une espèce de plante herbacée annuelle de la famille des Chénopodiacées1. Il est considéré comme une pseudo-céréale, car il ne fait pas partie de la famille des graminées, mais de celle de la betterave et des épinards (les Chénopodiacées2).</p><p>Cette plante traditionnelle est cultivée depuis plus de 5 000 ans sur les hauts plateaux d'Amérique du Sud. Comme le haricot, la pomme de terre, le pois chiche, le maïs, le quinoa était à la base de l'alimentation des civilisations précolombiennes, mais, contrairement à ces derniers, il n'a pas retenu l'attention des conquérants espagnols à cause de la teneur en saponine de l'enveloppe de ses graines non écorcées, et du fait que la farine qui en est tirée n'est pas panifiable, en raison de l'absence de gluten.</p><p>Dans les années 1970, les pays industrialisés en quête d’une alimentation plus saine découvrent les qualités nutritionnelles du quinoa qui est désormais distribué dans certaines grandes surfaces, dans les magasins de produits issus de l'agriculture biologique et du commerce équitable.</p><p><strong>Étymologie et appellations</strong></p><p>Quinoa est issu de l’espagnol « quinua », lui-même dérivé du quechua « kinwa ». En français, l'usage du masculin s'est imposé, contrairement à l'espagnol et au quechua. Les Incas appelaient le quinoa « chisiya mama », qui signifie en quechua « mère de tous les grains ».</p><p><strong>Variétés</strong></p><p>On distingue principalement deux grandes familles de quinoa : le quinua "amarga" (=amer) et "dulce" (=doux). La première, traditionnellement cultivée dans les Andes depuis plus de 5 000 ans nécessite le lavage et la scarification des grains à cause de la teneur en saponine de l'enveloppe (amère et présentant un certain taux de toxicité). Il s'agit de la variété majoritairement exportée en occident par le biais du commerce équitable. La "dulce", issue de sélections variétales plus récentes, contient peu ou pas de saponine.</p><p>Il existe plusieurs variétés comme : Bear, Cherry Vanilla, Cochabamba, dave 407, Gossi, Isluga, Kaslala, Kcoito, Linares, Rainbow, Red faro, Red head (bonne adaptabilité en climat pluvieux), Temuco.</p><p><strong>Nutrition</strong></p><p>Le quinoa est très digeste, sans gluten, pauvre en lipides, mais riche en fer alimentaire et en protéines. En moyenne, le quinoa contient 16 à 18 % de protéines. Il contient également tous les acides aminés essentiels à la vie humaine. Sa graine rappelle le millet. Il a une texture de caviar et un goût léger de noisette. Il se cuisine facilement salé comme sucré3.</p><p>Pour le consommer, il faut le rincer dans l'eau pour éliminer son goût amer. On le fait de préférence cuire dans trois fois son volume d'eau bouillante. On laisse mijoter à feu doux jusqu'à l'apparition du germe (environ 20 minutes). Ensuite, on couvre pendant quelques minutes et on laisse le quinoa absorber l'eau restante. Il peut remplacer en accompagnement le riz, la semoule ou les pâtes.</p><p>La farine de quinoa permet de faire de nombreuses préparations habituellement réalisées avec du blé, comme les crêpes, fars... à condition d'en réduire la quantité de moitié, car cette farine a un pouvoir d'absorption plus important4.</p><p>À cause de la saponine, le quinoa est déconseillé aux enfants de moins de deux ans.</p><p>L'indice PRAL du quinoa est légèrement négatif (-0,19), ce qui en fait un excellent substitut aux céréales dans la prévention de l'ostéoporose5.</p><p><strong>Culture</strong></p><p>Réputé pour sa capacité de résistance face à des conditions climatiques extrêmes (sécheresse, gel), le quinoa se développe dans un milieu aride (besoin de 600 mm de pluie par an) où les sols, pauvres, sont exposés à la sécheresse, au gel, au vent violent et à la forte radiation solaire due à l’altitude3.</p><p>Mais pour supporter le succès commercial de la graine, les agriculteurs se sont mis à cultiver des zones de plaine présentant des risques de gelée nocturne accrus.</p><p>Il est conseillé de semer le quinoa dès avril (hémisphère nord, climat océanique), car, si la température est trop élevée, le quinoa germe mal ; dans le cas contraire, il faut réfrigérer les semences pendant quelques jours.</p><p><strong>Pays producteurs, environnement et commerce</strong></p><p>Le Pérou et la Bolivie sont les deux premiers producteurs mondiaux de quinoa6 (cf. tableau ci-dessous ; les chiffres donnés par le syndicat bolivien l'ANAQPI sont bien plus élevés que ceux de la FAO, puisqu'il fait état de plus de 30 000 tonnes dès le début des années 2000 alors que la FAO indique 24 000 tonnes en 20046). En Bolivie, les surfaces ont doublé entre 2005 et 2012, atteignant environ 70 000 hectares pour 44 000 tonnes6. L’association nationale des producteurs de quinoa (ANAPQUI), créée en 1983, est le principal producteur de quinoa du pays7. Cet intérêt mondial pour le quinoa a conduit à une hausse des prix dans les pays andins8,6. Le Pérou est le premier exportateur mondial devant la Bolivie et l'Équateur6. Plus de la moitié de la production est exportée vers les États-Unis, un peu moins d'un tiers vers l'Union européenne et 6 % vers le Canada, ces trois régions représentant donc 94 % des exportations de quinoa bolivien6.</p><p>Depuis 2009, la culture du quinoa a été introduite en France, de l'Anjou jusqu'au Poitou : elle est passée de 100 à 200 hectares entre 2009 et 20106.</p><p>La demande croissante du marché mondial pour le quinoa a engendré des modifications importantes de la part des agriculteurs boliviens en vue d'en intensifier la production. Le développement de la monoculture du quinoa se fait aux dépens d'activités comme l'élevage traditionnel du lama (son fumier servait à fertiliser le sol) ou la culture d'autres productions vivrières dans la puna. Cela a des conséquences à la fois environnementales (appauvrissement du sol par la réduction des jachères ou la mécanisation par la charrue à disques) et sociales importantes. Si cette tendance freine, voire inverse partiellement l'exode rural, les revenus apportés entraînent néanmoins des tensions au sujet des terres au sein des communautés villageoises)7,6</p><p><strong>Année internationale du quinoa</strong></p><p>2013 a été déclarée Année internationale du quinoa par les Nations unies9.</p><p>L’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé 2013 «Année internationale du quinoa»10 afin de rendre hommage aux pratiques ancestrales des peuples andins qui ont su, de par leur savoir-faire et leur vie en harmonie avec la nature, préserver cet aliment pour les générations présentes et futures. L'Année internationale entend attirer l’attention au niveau mondial sur le rôle que joue le quinoa dans la sécurité alimentaire et la nutrition.</p><p>L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture assure les services de Secrétariat de l’Année internationale. Le Comité est présidé par la Bolivie, assistée de l’Équateur, du Pérou et du Chili aux fonctions de vice-présidents, tandis que l’Argentine et la France ont été désignées comme rapporteurs.</p></div>

VE 232 C

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<h2><b>Graines de la Baselle ou Epinard de Malabar (Basella alba)</b></h2> <h2><span style="color: #ff0000;"><b>10 graines par sachet.</b></span></h2> <p>Basella alba, la baselle ou épinard de Malabar, est une espèce de plantes dicotylédones de la famille des Basellaceae, probablement originaire d'Asie du Sud. Ce sont des plantes herbacées grimpantes, vivaces à courte durée de vie, à petites fleurs groupées en épis axillaires. Les feuilles charnues sont comestibles et constituent un substitut de l'épinard. L'espèce est largement cultivée dans les régions tropicales.</p> <p>Aussi connu sous le nom Baselle ou épinard grimpant, le Malabar n’est pas vraiment un épinard comme ses feuilles vert foncé pourraient vous le laisser croire. Originaire de l’Inde et des Tropiques, cette plante à rames tropicales peut être cultivée comme une annuelle sous des climats plus froids.</p> <p>Elle préfère un emplacement plein soleil, un sol bien drainé et un support (treillis) pour y grimper. En cuisine, on l’utilise comme l’épinard. Comme ses feuilles ont une texture épaisse et mucilagineuse, elles peuvent aussi être utilisées comme épaississant dans les soupes et elles sont riches en fibres.</p> <p>Elles sont à la base de nombreux mets des Philippines au Bengale ainsi qu’en Chine et au Vietnam. Même si elle meurt en hiver, cette plante se réensemence habituellement d’elle-même. Elle est très résistante à la maladie et aux insectes nuisibles.</p> <p>Maintenir le sol humide. Plante tropicale à l’origine, cette plante supporte mieux les grandes chaleurs que l’épinard, la bette à carde et le chou Kale.</p><script src="//cdn.public.n1ed.com/G3OMDFLT/widgets.js"></script>

VE 226 (10 S)

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<h2><strong>Graines de Betterave Fourragère Mammoth</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;" class=""><strong>3g (100) graines par sachet.</strong></span></h2> <p>La betterave fourragère est un type de betterave cultivé pour sa racine utilisée pour l'alimentation des animaux.</p> <p>La betterave cultivée est une plante bisannuelle :</p> <p>première année, phase végétative : développement des feuilles et constitution de la racine charnue, accumulation de réserves en sucre, c'est aussi la phase de culture,</p> <p>deuxième année : montaison et floraison, production de graines.</p> <p><strong>Botanique</strong></p> <p>Nom scientifique : Beta vulgaris L. Famille des Chénopodiacées (selon la classification classique) ou famille des Amaranthacées (selon la classification phylogénétique).</p> <p><strong>Économie</strong></p> <p>La culture s'est progressivement développée en Europe du Nord et a occupé près d'un million d'hectares en France dans les années 1950. Elle a ensuite fortement régressé au profit du maïs ensilage.</p> <p>C'est pourtant une culture particulièrement productive à l'hectare, ayant une bonne régularité de production et d'une valeur alimentaire très élevée.</p> <p><strong>Culture de la betterave fourragère</strong></p> <p>Le semis s'effectue à partir de la mi-mars, après les gelées d'hiver1. Elle a besoin de six mois chauds et ensoleillés pour achever la formation de la racine ; elle aime les terres riches, profondes, bien fumées.</p> <p>Jusque dans les années 1970, il était nécessaire de procéder au « démariage », c'est-à-dire à l'élimination des plants excédentaires. Les graines sont des glomérules multigermes. À partir de 1968, grâce à la sélection, les semences monogermes (une seule graine par glomérule) peuvent être semées directement en place, graine par graine, grâce à des semoirs spécifiques.</p> <p><strong>Ennemis de la betterave</strong></p> <p>Ses principaux ennemis sont les pucerons vecteurs de la jaunisse, la mouche de la betterave (ou pégomyie), les taupins et des maladies comme la rhizomanie, la cercosporiose, l'oïdium, la ramulariose et le pied noir.</p> <p><strong>Désherbage de la betterave</strong></p> <p>Le désherbage de la betterave est une pratique qu'il faut absolument réussir car la culture est très fragile du point de vue de la concurrence avec les adventices à tous les niveaux. Il faut pour cela lutter par des méthodes agronomiques (rotations, binages…) ou chimiquement (la méthode la plus utilisée et la plus efficace).</p> <p>Le désherbage chimique des betteraves repose sur des programmes associant plusieurs matières actives, permettant d'élargir le spectre d'efficacité et de réduire la phytotoxicité pour la culture. Dans ce souci d'efficacité et de diminution du coût du désherbage, des techniques avec doses réduites de produits sont développées depuis de nombreuses années.</p> <p>Un désherbage de prélevée est utile, notamment dans les situations à risque, contre certains types d'adventices, les dicotylédones comme l'amarante, l'ammi élevé, l'aethusa, la matricaire… Le désherbage de post levée vise les dicotylédones et les monocotylédones.</p> <p><strong>Récolte</strong></p> <p>Les racines sont récoltées entières à maturité pour être stockées. La récolte de la betterave fourragère est entièrement mécanisable, à l'aide de machines plus ou moins combinées : effeuilleuse - arracheuse - chargeuse. Dans les sols portants, il est également possible de les faire pâturer sur place.</p> <p><strong>Stockage et distribution</strong></p> <p>Les betteraves fourragères devant être distribuées tout au long de l'hiver, il est important de les conserver en bon état. Le stockage se fait en fabriquant un simple tas, en protégeant les racines du risque de gel dans les régions froides, tout en permettant à l'air de circuler. La distribution aux animaux est également entièrement mécanisable à l'aide de différents types de machines telles que des godets désileurs ou des dessileuses distributrices. Certaines sont équipées de système de nettoyage et de hachage et sont pourvues de système pour évacuer les cailloux.</p> <p><strong>Utilisation</strong></p> <p>Les racines sont distribuées pendant l'hiver aux animaux d'élevage : bovins, ovins, caprins mais aussi les chevaux, les porcins, les lapins, et pratiquement tous les animaux omnivores ou herbivores. Les feuilles peuvent servir pour l'alimentation du bétail ou sont restituées au sol.</p> <p>La plupart des variétés de betteraves fourragères peuvent aussi être utilisées pour la consommation humaine sous différentes formes : racines rappées en salade, jeunes feuilles cuites pour accompagner des plats en sauce,...</p> <p>Leur forte productivité et la possibilité de les stocker de manière simple en font également une plante performante pour produire du biogaz par la méthanisation. De nouvelles variétés ont été sélectionnées dans ce but.</p> <p><strong>Valeur alimentaire</strong></p> <p>La betterave fourragère a une valeur énergétique très élevée5 et est très appréciée des animaux. C'est un excellent complément pour des rations à base d'herbe ou de foin. Elle doit être distribuée en quantités limitées, environ 3 kg de matière sèche par jour pour une vache laitière.</p> <p>&nbsp;</p><script src="//cdn.public.n1ed.com/G3OMDFLT/widgets.js"></script>

VE 62 (3g)

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<!DOCTYPE html> <html> <head> <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=UTF-8" /> </head> <body> <h2><strong>Devenez notre fournisseur de semences</strong></h2> <h2><strong>Que faut-il pour devenir notre fournisseur de semences?</strong></h2> <p>Pour devenir notre fournisseur, vous devez avoir une vidéo et des photos des fruits des plantes que vous nous offrez, avec vos coordonnées personnelles et une date sur papier qui sera clairement visible (avec votre nom et adresse e-mail que vous utilisez pour PayPal ).</p> <p>S'il s'agit d'un légume (tomate, poivron, concombre ...), vous devez connaître le nom exact de la variété, car si vous utilisez un autre nom et que nous ne pouvons pas trouver les informations sur Internet, nous ne sommes pas intéressés par ceux-ci des graines.</p> <p>Vous devrez nous envoyer une plus petite quantité de graines (20) afin que nous puissions effectuer des tests de germination des graines. Après cela, nous pouvons organiser un nouvel achat de semences auprès de vous.</p> <p>Nous ne sommes PAS INTÉRESSÉS par les fournisseurs de Chine, d'Indonésie ...</p> <p>Nous effectuons les paiements exclusivement via PayPal (il n'y a pas d'autre option de paiement).</p> </body> </html>

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<h2><strong>Graines de betterave jaune géant Eckendorf</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;" class=""><strong>100 (3g) graines par sachet.</strong></span></h2> <p>Le catalogue de Henry Fields de 1927 a déclaré: «Racines géantes, lisses et longues de forme cylindrique, pesant jusqu'à 9 kg chacune et poussant aux deux tiers au-dessus du sol. Chair blanche solide à haute valeur alimentaire. ” Ces grosses racines à peau jaune sont parfaites pour la culture en tant qu'aliments pour animaux, une tradition qui est finalement ramenée dans de nombreuses petites fermes.</p> <p><strong>Botanique</strong></p> <p>Nom scientifique : Beta vulgaris L. Famille des Chénopodiacées (selon la classification classique) ou famille des Amaranthacées (selon la classification phylogénétique).</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Économie</strong></p> <p>La culture s'est progressivement développée en Europe du Nord et a occupé près d'un million d'hectares en France dans les années 1950. Elle a ensuite fortement régressé au profit du maïs ensilage.</p> <p>C'est pourtant une culture particulièrement productive à l'hectare, ayant une bonne régularité de production et d'une valeur alimentaire très élevée.</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Culture de la betterave fourragère</strong></p> <p>Le semis s'effectue à partir de la mi-mars, après les gelées d'hiver1. Elle a besoin de six mois chauds et ensoleillés pour achever la formation de la racine ; elle aime les terres riches, profondes, bien fumées.</p> <p>Jusque dans les années 1970, il était nécessaire de procéder au « démariage », c'est-à-dire à l'élimination des plants excédentaires. Les graines sont des glomérules multigermes. À partir de 1968, grâce à la sélection, les semences monogermes (une seule graine par glomérule) peuvent être semées directement en place, graine par graine, grâce à des semoirs spécifiques.</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Ennemis de la betterave</strong></p> <p>Ses principaux ennemis sont les pucerons vecteurs de la jaunisse, la mouche de la betterave (ou pégomyie), les taupins et des maladies comme la rhizomanie, la cercosporiose, l'oïdium, la ramulariose et le pied noir.</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Désherbage de la betterave</strong></p> <p>Le désherbage de la betterave est une pratique qu'il faut absolument réussir car la culture est très fragile du point de vue de la concurrence avec les adventices à tous les niveaux. Il faut pour cela lutter par des méthodes agronomiques (rotations, binages…) ou chimiquement (la méthode la plus utilisée et la plus efficace).</p> <p>&nbsp;</p> <p>Le désherbage chimique des betteraves repose sur des programmes associant plusieurs matières actives, permettant d'élargir le spectre d'efficacité et de réduire la phytotoxicité pour la culture. Dans ce souci d'efficacité et de diminution du coût du désherbage, des techniques avec doses réduites de produits sont développées depuis de nombreuses années.</p> <p>&nbsp;</p> <p>Un désherbage de prélevée est utile, notamment dans les situations à risque, contre certains types d'adventices, les dicotylédones comme l'amarante, l'ammi élevé, l'aethusa, la matricaire… Le désherbage de post levée vise les dicotylédones et les monocotylédones.</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Récolte</strong></p> <p>Les racines sont récoltées entières à maturité pour être stockées. La récolte de la betterave fourragère est entièrement mécanisable, à l'aide de machines plus ou moins combinées : effeuilleuse - arracheuse - chargeuse. Dans les sols portants, il est également possible de les faire pâturer sur place.</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Stockage et distribution</strong></p> <p>Les betteraves fourragères devant être distribuées tout au long de l'hiver, il est important de les conserver en bon état. Le stockage se fait en fabriquant un simple tas, en protégeant les racines du risque de gel dans les régions froides, tout en permettant à l'air de circuler. La distribution aux animaux est également entièrement mécanisable à l'aide de différents types de machines telles que des godets désileurs ou des dessileuses distributrices. Certaines sont équipées de système de nettoyage et de hachage et sont pourvues de système pour évacuer les cailloux.</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Utilisation</strong></p> <p>Les racines sont distribuées pendant l'hiver aux animaux d'élevage : bovins, ovins, caprins mais aussi les chevaux, les porcins, les lapins, et pratiquement tous les animaux omnivores ou herbivores. Les feuilles peuvent servir pour l'alimentation du bétail ou sont restituées au sol.</p> <p>La plupart des variétés de betteraves fourragères peuvent aussi être utilisées pour la consommation humaine sous différentes formes : racines rappées en salade, jeunes feuilles cuites pour accompagner des plats en sauce,...</p> <p>&nbsp;</p> <p>Leur forte productivité et la possibilité de les stocker de manière simple en font également une plante performante pour produire du biogaz par la méthanisation. De nouvelles variétés ont été sélectionnées dans ce but.</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Valeur alimentaire</strong></p> <p>La betterave fourragère a une valeur énergétique très élevée5 et est très appréciée des animaux. C'est un excellent complément pour des rations à base d'herbe ou de foin. Elle doit être distribuée en quantités limitées, environ 3 kg de matière sèche par jour pour une vache laitière.</p> <p>&nbsp;</p>

VE 63 E (3g)

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<h2><strong>Graines de betterave sucrière Horpácsi</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;" class=""><strong>500 (1g) graines par sachet.</strong></span></h2> <p>La betterave sucrière Horpácsi est une ancienne variété hongroise. En raison de son goût sucré dans les paysages pluvieux de la Hongrie, il est cultivé non seulement pour l'alimentation animale mais aussi pour la consommation humaine. Il est mariné comme de la choucroute. La variété résistante au gel et peut être récoltée à la fin de l'automne. Sa racine est plate, ronde, la partie apicale est violette.</p> <p>Profondeur de semis: 2-3 cm.<br>La température optimale pour la germination: 10-15 ° C.</p> <p><strong>Botanique</strong></p> <p>Nom scientifique : Beta vulgaris L. Famille des Chénopodiacées (selon la classification classique) ou famille des Amaranthacées (selon la classification phylogénétique).</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Économie</strong></p> <p>La culture s'est progressivement développée en Europe du Nord et a occupé près d'un million d'hectares en France dans les années 1950. Elle a ensuite fortement régressé au profit du maïs ensilage.</p> <p>C'est pourtant une culture particulièrement productive à l'hectare, ayant une bonne régularité de production et d'une valeur alimentaire très élevée.</p> <p><strong>Culture de la betterave fourragère</strong></p> <p>Le semis s'effectue à partir de la mi-mars, après les gelées d'hiver1. Elle a besoin de six mois chauds et ensoleillés pour achever la formation de la racine ; elle aime les terres riches, profondes, bien fumées.</p> <p>Jusque dans les années 1970, il était nécessaire de procéder au « démariage », c'est-à-dire à l'élimination des plants excédentaires. Les graines sont des glomérules multigermes. À partir de 1968, grâce à la sélection, les semences monogermes (une seule graine par glomérule) peuvent être semées directement en place, graine par graine, grâce à des semoirs spécifiques.</p> <p><strong>Ennemis de la betterave</strong></p> <p>Ses principaux ennemis sont les pucerons vecteurs de la jaunisse, la mouche de la betterave (ou pégomyie), les taupins et des maladies comme la rhizomanie, la cercosporiose, l'oïdium, la ramulariose et le pied noir.</p> <p><strong>Désherbage de la betterave</strong></p> <p>Le désherbage de la betterave est une pratique qu'il faut absolument réussir car la culture est très fragile du point de vue de la concurrence avec les adventices à tous les niveaux. Il faut pour cela lutter par des méthodes agronomiques (rotations, binages…) ou chimiquement (la méthode la plus utilisée et la plus efficace).</p> <p>Le désherbage chimique des betteraves repose sur des programmes associant plusieurs matières actives, permettant d'élargir le spectre d'efficacité et de réduire la phytotoxicité pour la culture. Dans ce souci d'efficacité et de diminution du coût du désherbage, des techniques avec doses réduites de produits sont développées depuis de nombreuses années.</p> <p>Un désherbage de prélevée est utile, notamment dans les situations à risque, contre certains types d'adventices, les dicotylédones comme l'amarante, l'ammi élevé, l'aethusa, la matricaire… Le désherbage de post levée vise les dicotylédones et les monocotylédones.</p> <p><strong>Récolte</strong></p> <p>Les racines sont récoltées entières à maturité pour être stockées. La récolte de la betterave fourragère est entièrement mécanisable, à l'aide de machines plus ou moins combinées : effeuilleuse - arracheuse - chargeuse. Dans les sols portants, il est également possible de les faire pâturer sur place.</p> <p><strong>Stockage et distribution</strong></p> <p>Les betteraves fourragères devant être distribuées tout au long de l'hiver, il est important de les conserver en bon état. Le stockage se fait en fabriquant un simple tas, en protégeant les racines du risque de gel dans les régions froides, tout en permettant à l'air de circuler. La distribution aux animaux est également entièrement mécanisable à l'aide de différents types de machines telles que des godets désileurs ou des dessileuses distributrices. Certaines sont équipées de système de nettoyage et de hachage et sont pourvues de système pour évacuer les cailloux.</p> <p><strong>Utilisation</strong></p> <p>Les racines sont distribuées pendant l'hiver aux animaux d'élevage : bovins, ovins, caprins mais aussi les chevaux, les porcins, les lapins, et pratiquement tous les animaux omnivores ou herbivores. Les feuilles peuvent servir pour l'alimentation du bétail ou sont restituées au sol.</p> <p>La plupart des variétés de betteraves fourragères peuvent aussi être utilisées pour la consommation humaine sous différentes formes : racines rappées en salade, jeunes feuilles cuites pour accompagner des plats en sauce,...</p> <p>Leur forte productivité et la possibilité de les stocker de manière simple en font également une plante performante pour produire du biogaz par la méthanisation. De nouvelles variétés ont été sélectionnées dans ce but.</p> <p><strong>Valeur alimentaire</strong></p> <p>La betterave fourragère a une valeur énergétique très élevée5 et est très appréciée des animaux. C'est un excellent complément pour des rations à base d'herbe ou de foin. Elle doit être distribuée en quantités limitées, environ 3 kg de matière sèche par jour pour une vache laitière.</p><script src="//cdn.public.n1ed.com/G3OMDFLT/widgets.js"></script>

VE 163 (1g)

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<meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=UTF-8" /> <h2><strong>Graines de betterave sucrière Authority</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;"><strong>20 graines par sachet.</strong></span></h2> <p>Betterave à sucre - résistante au froid, aimant la lumière, moyennement exigeante pour la fertilité du sol. La betterave sucrière donne des rendements élevés et stables et est facile à transporter. La betterave à sucre aime la chaleur, la lumière et l'humidité.</p> <p>La quantité de sucre dans le fruit dépend du nombre de jours ensoleillés d'août à octobre. La betterave à sucre est utilisée non seulement pour la production de sucre, mais également pour l'alimentation des animaux.</p> <p>La température optimale pour la germination des graines est de 10 à 12 ° C et pour la croissance et le développement de 20 à 22 ° C. Les pousses sont sensibles au gel.</p> <p>Récolte: 75-100 jours<br />Poids racine: 500-850 g.<br />Teneur en sucre: 18-21%<br />Profondeur de semis: 2-3 cm.</p>

P 8 (20 S)

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<meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=UTF-8" /> <h2><strong>Graines de betterave Kranjska rondes</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;"><strong>100 graines par sachet.</strong></span></h2> <p>La betterave Kranjska est une variété précoce à utiliser sans délai, et elle est bonne pour le marinage et la consommation fraîche. Il a une forme ronde plate avec une tête rouge-violet. S'il y a suffisamment d'humidité, il prospère dans n'importe quel sol. Il pousse bien à proximité de la laitue, des épinards et des haricots.</p> <p>Profondeur de semis: 2-3 cm.<br />La température optimale pour la germination: 10-15 ° C.</p> <p><strong>Botanique</strong></p> <p>Nom scientifique : Beta vulgaris L. Famille des Chénopodiacées (selon la classification classique) ou famille des Amaranthacées (selon la classification phylogénétique).</p> <p> </p> <p><strong>Économie</strong></p> <p>La culture s'est progressivement développée en Europe du Nord et a occupé près d'un million d'hectares en France dans les années 1950. Elle a ensuite fortement régressé au profit du maïs ensilage.</p> <p>C'est pourtant une culture particulièrement productive à l'hectare, ayant une bonne régularité de production et d'une valeur alimentaire très élevée.</p> <p><strong>Culture de la betterave fourragère</strong></p> <p>Le semis s'effectue à partir de la mi-mars, après les gelées d'hiver1. Elle a besoin de six mois chauds et ensoleillés pour achever la formation de la racine ; elle aime les terres riches, profondes, bien fumées.</p> <p>Jusque dans les années 1970, il était nécessaire de procéder au « démariage », c'est-à-dire à l'élimination des plants excédentaires. Les graines sont des glomérules multigermes. À partir de 1968, grâce à la sélection, les semences monogermes (une seule graine par glomérule) peuvent être semées directement en place, graine par graine, grâce à des semoirs spécifiques.</p> <p><strong>Ennemis de la betterave</strong></p> <p>Ses principaux ennemis sont les pucerons vecteurs de la jaunisse, la mouche de la betterave (ou pégomyie), les taupins et des maladies comme la rhizomanie, la cercosporiose, l'oïdium, la ramulariose et le pied noir.</p> <p><strong>Désherbage de la betterave</strong></p> <p>Le désherbage de la betterave est une pratique qu'il faut absolument réussir car la culture est très fragile du point de vue de la concurrence avec les adventices à tous les niveaux. Il faut pour cela lutter par des méthodes agronomiques (rotations, binages…) ou chimiquement (la méthode la plus utilisée et la plus efficace).</p> <p>Le désherbage chimique des betteraves repose sur des programmes associant plusieurs matières actives, permettant d'élargir le spectre d'efficacité et de réduire la phytotoxicité pour la culture. Dans ce souci d'efficacité et de diminution du coût du désherbage, des techniques avec doses réduites de produits sont développées depuis de nombreuses années.</p> <p>Un désherbage de prélevée est utile, notamment dans les situations à risque, contre certains types d'adventices, les dicotylédones comme l'amarante, l'ammi élevé, l'aethusa, la matricaire… Le désherbage de post levée vise les dicotylédones et les monocotylédones.</p> <p><strong>Récolte</strong></p> <p>Les racines sont récoltées entières à maturité pour être stockées. La récolte de la betterave fourragère est entièrement mécanisable, à l'aide de machines plus ou moins combinées : effeuilleuse - arracheuse - chargeuse. Dans les sols portants, il est également possible de les faire pâturer sur place.</p> <p><strong>Stockage et distribution</strong></p> <p>Les betteraves fourragères devant être distribuées tout au long de l'hiver, il est important de les conserver en bon état. Le stockage se fait en fabriquant un simple tas, en protégeant les racines du risque de gel dans les régions froides, tout en permettant à l'air de circuler. La distribution aux animaux est également entièrement mécanisable à l'aide de différents types de machines telles que des godets désileurs ou des dessileuses distributrices. Certaines sont équipées de système de nettoyage et de hachage et sont pourvues de système pour évacuer les cailloux.</p> <p><strong>Utilisation</strong></p> <p>Les racines sont distribuées pendant l'hiver aux animaux d'élevage : bovins, ovins, caprins mais aussi les chevaux, les porcins, les lapins, et pratiquement tous les animaux omnivores ou herbivores. Les feuilles peuvent servir pour l'alimentation du bétail ou sont restituées au sol.</p> <p>La plupart des variétés de betteraves fourragères peuvent aussi être utilisées pour la consommation humaine sous différentes formes : racines rappées en salade, jeunes feuilles cuites pour accompagner des plats en sauce,...</p> <p>Leur forte productivité et la possibilité de les stocker de manière simple en font également une plante performante pour produire du biogaz par la méthanisation. De nouvelles variétés ont été sélectionnées dans ce but.</p> <p><strong>Valeur alimentaire</strong></p> <p>La betterave fourragère a une valeur énergétique très élevée5 et est très appréciée des animaux. C'est un excellent complément pour des rations à base d'herbe ou de foin. Elle doit être distribuée en quantités limitées, environ 3 kg de matière sèche par jour pour une vache laitière.</p>

VE 105 (100 S)

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<h2><strong>Graines de Betterave Detroit</strong></h2> <h2><span style="color: #f80000;"><strong>120 (2g) graines par sachet.</strong></span></h2> La betterave Detroit Globe est une très ancienne variété de betterave qui se comporte encore extrêmement bien. Variété très appréciée pour la culture. Les racines en forme de globe rouge foncé poussent jusqu'à 7 cm et elles ont un très bon goût. Dessus verts avec des nuances de rouge foncé.<br><br>Cette plante médicinale est connue comme médicament depuis environ 2000 ans. La betterave est un antianémique naturel, antibactérien, anticancéreux, antipyrétique, antioxydant, antisclérotique, détoxifiant, diurétique, reminéralisant.<br><br>Le jus de betterave régénère le foie et prévient le vieillissement. Même en médecine ancienne, la betterave est un remède contre le sang, plus précisément le traitement de l'anémie, bien qu'elle ait un effet curatif sur un certain nombre d'autres maladies.<br><br>Les betteraves régulent avec succès la pression artérielle. Le jus de betterave est un antipyrétique utile, car il abaisse la température corporelle élevée. Les graines de betterave sont utilisées pour le traitement thérapeutique des tumeurs génitales et intestinales.<br><br>Semis:<br>Semez directement à 1,5 cm de profondeur de mi-avril à juin.<script src="//cdn.public.n1ed.com/G3OMDFLT/widgets.js"></script>

VE 204 (2g)

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<h2 class=""><strong>Graines de betterave noire de montagne</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;"><strong>20 graines par sachet.</strong></span></h2> <p>Variété à peau brun foncé ou noire et à chair blanche, longue et fine, environ 20cm. très adapté aux climats froids et secs.<br /><br />Le navet noir des montagnes est une racine, un tubercule à la peau noire et à la chair blanchâtre à la saveur agréable et légèrement épicée. Il est récolté en hiver et consommé jusqu'en mars. Il est plus fin et plus savoureux que le reste des variétés de navet.<br /><br />Il est utilisé pour les crèmes ou les soupes, mais aussi pour la garniture et cru dans les salades, ou frit comme les pommes de terre.<br /><br />Origine : Les Refardes - Espagne</p> <script src="//cdn.public.n1ed.com/G3OMDFLT/widgets.js"></script>

P 4 (20 S)