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Cette plante est comestible

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Graines de Fuzzyfruit...

Graines de Fuzzyfruit...

Prix 2,25 € SKU: V 124
,
5/ 5
<h2><strong>Graines de Fuzzyfruit nightshade (Solanum candidum)</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;"><strong>5 graines par sachet.</strong></span></h2> <p>Arbuste herbacé atteignant 3 m de haut avec de grandes feuilles lobées et des fruits comestibles velus de la taille d'un abricot. Solanum candidum est largement répandu dans les forêts et les zones perturbées du sud du Mexique au sud le long des Andes jusqu'au Pérou.</p> <p>Solanum candidum est une espèce d'arbuste à feuilles persistantes originaire d'Amérique du Sud et parfois cultivée pour ses fruits comestibles.</p> <p>Non domestiqué et très rare en culture, il est connu sous le nom de morelle duveteuse, naranjilla Silvestre ou chichilegua. Le fruit ressemble quelque peu au Cocona apparenté (Solanum sessiliflorum), et Solanum candidum s'hybridera apparemment avec un certain nombre de proches parents, notamment Cocona, Naranjilla et pseudolulo. Une différence notable est les fruits extrêmement hirsutes, qui – contrairement à la plupart de ses parents – ne se détachent pas facilement à pleine maturité, ce qui est un obstacle à la consommation du fruit mûr. Néanmoins, S. candidum est un proche parent d'autres morelles cultivées pour leurs fruits comestibles, notamment la tomate (S. lycopersicum), la naranjilla (S. quitoense) et l'aubergine (S. melongena). Sa résistance relativement forte aux ravageurs et aux maladies (par rapport à ses parents plus appétissants) a suscité un certain intérêt agricole.</p> <p>Scientifiquement, S. candidum présente un intérêt supplémentaire, car il semble être le parent le plus proche et un ancêtre possible des membres asiatiques du même clade botanique, notamment Solanum lasiocarpum, originaire d'Inde mais cultivé pour ses fruits ressemblant à des naranjillas, et s'hybridera également facilement avec S. candidum.</p> <p>Solanum candidum est présumé être originaire des régions andines tempérées de la Colombie, du Pérou et du Chili. Comme le cocona, la naranjilla et la morelle indienne, S. candidium peut porter ses fruits en 1 ou 2 ans à partir de la graine. Vivace à vie courte, la production fruitière nécessite une saison de croissance assez longue, ce qui limite son potentiel agricole dans les climats plus tempérés. Comme le naranjilla et le cocona, S. candidum est mieux adapté aux climats de forêt nuageuse subtropicale, où le gel est inconnu, mais la chaleur extrême est également très rare ou inconnue. Les fruits sont des baies rondes, couvertes d'une fourrure persistante même à maturité, jusqu'à 2 cm de taille, qui mûrissent en jaune ou rouge.</p>
V 124 (5 S)
Graines de Fuzzyfruit nightshade (Solanum candidum)

Cette plante est comestible
Graines petit Cocona rouge...

Graines petit Cocona rouge...

Prix 2,35 € SKU: V 132
,
5/ 5
<h2><strong>Graines petit Cocona rouge (Solanum sessiliflorum)</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;"><strong>5 graines par sachet.</strong></span></h2> <p>Un cultivar de Solanum sessiliflorum avec de savoureux petits fruits rouges brunâtres qui est populaire dans les basses terres amazoniennes de Colombie et du Pérou pour les jus et les sauces.</p> <p><em><strong>Solanum sessiliflorum</strong></em> appelé <strong>Cocona</strong> (Guyane) ou <strong>Tomate Chauve Souris</strong> est un arbuste tropical appartenant à la famille des <em>Solanaceae</em>. Ses grosses branches robustes portent des feuilles dentées et velues. Son fruit est une baie comestible rouge, orange ou jaune. On le rencontre principalement en Amérique du Sud en bordure de la région amazonienne, comme dans la province de Purús à l'Est du Pérou.</p> <p>Il ressemble à un plusieurs espèces proches comme les naranjillas ou le pseudolulo, mais ne porte généralement pas d'épines. Il ne présente par ailleurs pas la coloration violette caractéristique des naranjillas. Ses fleurs ressemblent à celles de la pomme de terre en plus gros, et avec des pétales vert clair. Il peut s'hybrider avec d'autres <em>Solanum spp.</em> proches<sup id="cite_ref-Morton_4-0">4</sup>.</p> <p><em>Solanum georgicum</em> et <em>Solanum hyporhodium</em> ont été (et sont parfois encore) inclus dans cette espèce, mais aujourd'hui ils sont généralement considérés comme distincts.</p> <h2 style="color: #000000; margin: 1em 0px 0.25em; padding: 0px; overflow: hidden; border-bottom: 1px solid #a2a9b1; font-size: 1.5em; font-family: 'Linux Libertine', Georgia, Times, serif; line-height: 1.3; background-color: #ffffff;"><span class="mw-headline" id="Noms_vernaculaires">Noms vernaculaires</span></h2> <p style="margin: 0.5em 0px; color: #202122; font-family: sans-serif; font-size: 14px; background-color: #ffffff;">Comme toute espèce domestiquée, <em>Solanum sessiliflorum</em> porte divers noms vernaculaires dans différentes langues et contrées<sup id="cite_ref-Lim_5-0" class="reference" style="line-height: 1; vertical-align: text-top; position: relative; font-size: 0.8em; top: -5px; padding-left: 1px; unicode-bidi: isolate; white-space: nowrap;">5</sup> :</p> <ul style="list-style-image: url('https://www.seeds-gallery.shop/w/skins/Vector/resources/common/images/bullet-icon.svg?d4515'); margin: 0.3em 0px 0px 1.6em; padding: 0px; color: #202122; font-family: sans-serif; font-size: 14px; background-color: #ffffff;"> <li style="margin-bottom: 0.1em;">anglais - <strong>Cocona</strong><sup id="cite_ref-USDA_6-0" class="reference" style="line-height: 1; vertical-align: text-top; position: relative; font-size: 0.8em; top: -5px; padding-left: 1px; unicode-bidi: isolate; white-space: nowrap;">6</sup>, <strong>Orinoco Apple</strong>, <strong>Peach Tomato</strong>, <strong>Topiro</strong></li> <li style="margin-bottom: 0.1em;">Brésil - <strong>Cocona</strong>, <strong>Cubiu</strong>, <strong>Maná</strong>, <strong>Tomate-De-Indio</strong> (portugais)</li> <li style="margin-bottom: 0.1em;">Colombie - <strong>Be-Tá-Ka</strong> (Kubeo), <strong>Cocona</strong>, <strong>De-Twá</strong> (Taiwano, Tatuya), <strong>Coconilla</strong>, <strong>Lulo</strong>, <strong>Tupiru</strong></li> <li style="margin-bottom: 0.1em;">Français - <strong>Tomate Chauve-Souris</strong></li> <li style="margin-bottom: 0.1em;">Guyana - <strong>Orinoco Apple</strong></li> <li style="margin-bottom: 0.1em;">Hongrois - <strong>Orinoco-Paradicsom</strong></li> <li style="margin-bottom: 0.1em;">Pérou - <strong>Cocona</strong>, <strong>Kukush</strong></li> <li style="margin-bottom: 0.1em;">Espagne - <strong>Topiro</strong></li> <li style="margin-bottom: 0.1em;">Suédois - <strong>Topiro</strong></li> <li style="margin-bottom: 0.1em;">Venezuela - <strong>Pupú</strong> (Arekuna), <strong>Tupiru</strong></li> </ul> <h2 style="color: #000000; margin: 1em 0px 0.25em; padding: 0px; overflow: hidden; border-bottom: 1px solid #a2a9b1; font-size: 1.5em; font-family: 'Linux Libertine', Georgia, Times, serif; line-height: 1.3; background-color: #ffffff;"><span class="mw-headline" id="Utilisations">Utilisations</span></h2> <p style="margin: 0.5em 0px; color: #202122; font-family: sans-serif; font-size: 14px; background-color: #ffffff;">Originaire de la région Andine de l'Amérique du Sud, où il est parfois cultivé pour la consommation humaine. Dans l'émission <em>Survivorman</em> de Discovery Channel à l'occasion d'une incursion dans la région Amazonienne fin 2007, le fruit a été décrit comme une "explosion de saveurs", avec un goût entre le citron et la tomate. Il peut être consommé frais pelé ou en salade de fruits, ou cuisinés avec du poisson ou de la viande, en sauce, ou dans des gâteaux (en remplacement des pommes), en confiture ou en bonbons. On en fait également un jus rafraichissant après adjonction de sucre. Les jeunes feuilles sont aussi cuisinées en légume-feuille<sup id="cite_ref-Lim_5-1" class="reference" style="line-height: 1; vertical-align: text-top; position: relative; font-size: 0.8em; top: -5px; padding-left: 1px; unicode-bidi: isolate; white-space: nowrap;">5</sup>. Le fruit est riche en fer, niacine, en vitamines A et C<sup id="cite_ref-Salick_7-0" class="reference" style="line-height: 1; vertical-align: text-top; position: relative; font-size: 0.8em; top: -5px; padding-left: 1px; unicode-bidi: isolate; white-space: nowrap;">7</sup>.</p> <p style="margin: 0.5em 0px; color: #202122; font-family: sans-serif; font-size: 14px; background-color: #ffffff;">Dans les médecines traditionnelles, cette plante est utilisée pour soigner le diabète, les brûlures, les mycoses cutanées, et pour baisser les taux d'acide urique et de cholestérol. La poudre des graines est utilisée par les amérindiens Taiwano pour apaiser les irritations de la bouche liées à la mastication de feuilles de coca. Le jus est utilisé dans les soins de la peau et pour rendre les cheveux brillants<sup id="cite_ref-Lim_5-2" class="reference" style="line-height: 1; vertical-align: text-top; position: relative; font-size: 0.8em; top: -5px; padding-left: 1px; unicode-bidi: isolate; white-space: nowrap;">5</sup>.</p> <h2 style="color: #000000; margin: 1em 0px 0.25em; padding: 0px; overflow: hidden; border-bottom: 1px solid #a2a9b1; font-size: 1.5em; font-family: 'Linux Libertine', Georgia, Times, serif; line-height: 1.3; background-color: #ffffff;"><span class="mw-headline" id="Culture">Culture</span></h2> <p style="margin: 0.5em 0px; color: #202122; font-family: sans-serif; font-size: 14px; background-color: #ffffff;"><em>Solanum sessiliflorum</em> pousse sur les sols alluviaux et supporte les sols tropicaux, pauvres et acides. La germination des graines est favorisée par le passage à travers le tractus digestif humain. Il est adapté aux régions tropicales humides de basse altitude (&lt;1000 m)<sup id="cite_ref-Salick_7-1" class="reference" style="line-height: 1; vertical-align: text-top; position: relative; font-size: 0.8em; top: -5px; padding-left: 1px; unicode-bidi: isolate; white-space: nowrap;">7</sup>.</p> <p style="margin: 0.5em 0px; color: #202122; font-family: sans-serif; font-size: 14px; background-color: #ffffff;">Il peut être cultivé en intérieur sous les climats tempérés comme plante ornementale. Il semble assez sensible aux acariens, et il est donc préférable d'éviter de le garder trop au sec pendant l'hiver. Comme le narangille, il est très sensible aux pucerons et aux nématodes. Comme diverses plantes subtropicales, il peut supporter des températures fraîches, mais ne résiste pas au gel. Pendant l'été, il peut être cultivé à l'extérieur ou dans une serre froide. Lorsqu'il est cultivé à partir de semences, il peut porter des fruits au bout de 9 à 24 mois.</p>
V 132 (5 S)
Graines petit Cocona rouge (Solanum sessiliflorum)

Cette plante est comestible
Graines de banane poilue de...

Graines de banane poilue de...

Prix 4,25 € SKU: V 88 MH
,
5/ 5
<h2><strong>Graines de banane poilue de Bornéo (Musa hirta)</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;"><strong>3 graines par sachet.</strong></span></h2> <p>Banane peu connue d'environ 2,5 m (8 pieds) de haut seulement qui forme des touffes attrayantes. L'inflorescence dressée avec des tiges velues crée un bourgeon pointu avec des feuilles rose pourpre brillantes, suivies de petits fruits volumineux à poils dorés.</p> <p>Le fruit, comme avec seulement quelques autres types de bananes, est retiré à pleine maturité, ce qui signifie que la peau elle-même se fend et révèle la pulpe du fruit de l'intérieur.</p> <p>Contrairement à la plupart des bananes, elle est plus sucrée et juteuse. Les fruits mûrs ont le goût d'un mélange de kiwi et de banane et les graines sont consommées avec le fruit.</p> <p>Les fruits non mûrs sont pelés et mangés avec du sel. Les fleurs sont utilisées comme légumes, cuites et assaisonnées de sel et d'épices.</p> <p>Cette espèce a des qualités ornementales et fruitées qui devraient être sérieusement considérées pour la culture.</p>
V 88 MH (3 S)
Graines de banane poilue de Bornéo (Musa hirta)
Graines de palmier à sucre...

Graines de palmier à sucre...

Prix 3,50 € SKU: PS 16
,
5/ 5
<h2><strong>Graines de palmier à sucre miniatures (Arenga caudata)</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;"><strong>3 graines par sachet.</strong></span></h2> <p>Un petit palmier arbustif atteignant 2 m (7 pi) de haut, avec de fines tiges de roseau densément groupées et de petites feuilles vert foncé dessus et blanc argenté dessous.</p> <p>La feuille a approximativement la forme d'une queue de poisson et a des bords dentelés. A. Caudata est répandu en Asie du Sud-Est et prospère dans les endroits ombragés des jardins tropicaux ou subtropicaux chauds. La forme de la feuille bifide a des feuilles moins larges qui ressemblent à Arenga hookeriana.</p> <p>Ce palmier peut être bien cultivé dans un pot de fleurs.</p>
PS 16 (3 S)
Graines de palmier à sucre miniatures (Arenga caudata)

Cette plante a des fruits géants
Graines de Goyave du Brésil...

Graines de Goyave du Brésil...

Prix 2,50 € SKU: V 179
,
5/ 5
<h2><strong>Graines de Goyave du Brésil (Psidium guineense)</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;"><strong>5 graines par sachet.</strong></span></h2> <p>Les noms communs incluent la goyave brésilienne, la goyave castillane, la goyave aigre, la goyave de Guinée (langue anglaise), Goyavier du Brésil (langue française), brasiliaanse koejawel (afrikaans), Stachelbeerguave (langue allemande), chobo, diondan (Bolivie), guayabillo de tierra fria (El Salvador), araça do campo, aracahy (Brésil), guayaba brava, sacha guayaba (Pérou), allpa guayaba (Équateur), guayaba agria (Venezuela, Mexique), guayaba acida, chamach, pichippul (Guatemala), guísaro (Costa Rica) et guayabita de sabana (Panama).</p> <p>Cette plante est originaire des Amériques, où son aire de répartition naturelle s'étend du Mexique à l'Argentine et comprend certaines parties des Caraïbes. Il a été largement introduit en dehors de cette aire de répartition et il est cultivé dans certains endroits. Il est naturalisé dans certaines parties de l'Inde.</p> <p>La plante pousse mieux sur des sites ensoleillés avec des sols humides et fertiles, mais elle tolère un large éventail de conditions et peut pousser dans des zones perturbées et dans des sols mauvais. Il ne tolère pas la salinité ou les substrats inondés. Au Brésil, il est plus fréquent dans les zones côtières.</p> <p>Cette plante peut être un arbuste de 1 à 3 mètres de haut ou un arbre atteignant 7 mètres. L'écorce et le feuillage sont grisâtres. Les feuilles mesurent jusqu'à 14 centimètres de long sur 8 de large. Les lames rigides et ovales ont parfois des bords dentés. Le dessous est très glandulaire et couvert de poils pâles ou rougeâtres. Les fleurs poussent à l'aisselle des feuilles, seules ou en grappes jusqu'à 3. La fleur a une corolle blanche et de nombreuses étamines. C'est parfumé. Le fruit est ferme, savoureux, aromatique, sucré, juteux, arrondi et jusqu'à 2,5 centimètres de large. Il a une peau jaune, une pulpe externe jaune et une pulpe interne blanchâtre contenant de nombreuses graines. Il peut être consommé frais ou transformé en confitures, boissons ou desserts.</p> <p>C'est un arbre d'ornement et fruitier charmant et robuste pour les climats tropicaux.</p> <p>Il peut être cultivé dans un pot de fleurs!</p>
V 179 (5 S)
Graines de Goyave du Brésil (Psidium guineense)
Graines parfaites de fruit...

Graines parfaites de fruit...

Prix 3,15 € SKU: V 210
,
5/ 5
<h2><strong>Graines parfaites de fruit de la passion (Passiflora popenovii)</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;"><strong>3 graines par sachet.</strong></span></h2> <p>La rare Passiflora popenovii donne probablement le fruit le plus délicieux de toutes les espèces de Passiflora. La chair transparente et très juteuse à l'intérieur de la coque molle du fruit jaune vif est extrêmement sucrée et a un goût exceptionnel, exotique et parfumé.</p> <p>Il est originaire des forêts tropicales de Colombie et d'Équateur entre 500 et 1900 m (1600 et 6200 pieds) mais on pense qu'il s'est éteint à l'état sauvage et qu'il n'est cultivé que localement. Il s'adaptera facilement à la croissance dans un large éventail de conditions climatiques.</p> <p>Nous pensons que Perfect Passionfruit a le potentiel de devenir beaucoup plus populaire que Passiflora edulis ou Passiflora ligularis, qui sont courants sur les marchés de fruits du monde entier.</p> <p>Résistant au froid jusqu'à -6C</p>
V 210 (3 S)
Graines parfaites de fruit de la passion (Passiflora popenovii)
Graines de Asiminier...

Graines de Asiminier...

Prix 7,50 € SKU: V 48
,
5/ 5
<h2><strong>Graines de Asiminier trilobé (Asimina triloba)</strong></h2> <h2><span style="color: #fe0000;"><strong>3 graines par sachet.</strong></span></h2> L'<strong>asiminier trilobé</strong> (<em>Asimina triloba</em>) est un petit arbre de la famille des <em>Annonaceae</em> originaire d'Amérique du Nord où on l'appelle <em>pawpaw tree</em>. Le fruit charnu, l'asimine, est une baie comestible de forme oblongue, à chair crémeuse et dont le goût rappelle à la fois la banane et la mangue. <br /><br /> <h2><span id="Description">Description</span></h2> <h3><span id="Appareil_v.C3.A9g.C3.A9tatif"></span><span id="Appareil_végétatif">Appareil végétatif</span></h3> <p>L'asiminier trilobé est un arbre qui peut atteindre de 10 à 14 mètres de hauteur<sup id="cite_ref-EFloras16_juin_2013_1-0">1</sup>. Le tronc atteint une vingtaine de centimètres de diamètre<sup id="cite_ref-EFloras16_juin_2013_1-1">1</sup>. Son écorce, mince et lisse lorsqu'elle est jeune, devient plus rugueuse avec l'âge. De couleur brune, elle peut être tachée de gris notamment lorsqu'elle est jeune.</p> <p>Les bourgeons sont recouverts de petits poils brun rougeâtre ; les bourgeons terminaux sont plus grands que les bourgeons axillaires<sup id="cite_ref-rnc_2-0">2</sup>. Les rameaux grêles, recouverts de fins poils brun rougeâtre lorsqu'ils sont jeunes, portent de fines stries longitudinales. Ils deviennent glabres avec le temps.</p> <p>Les feuilles, portées par un pétiole court (de 5 à 10 <abbr title="millimètre">mm</abbr>)<sup id="cite_ref-EFloras16_juin_2013_1-2">1</sup>, sont caduques et de disposition alterne. Leur couleur est vert soutenu dessus, plus pâle en dessous. Simples, de forme oblongue acuminée, elles mesurent de 15 à 30 <abbr title="centimètre">cm</abbr> de long et ont un port retombant<sup id="cite_ref-rnc_2-1">2</sup>. Souvent couvertes d’un duvet brun rougeâtre, elles dégagent une odeur plutôt désagréable lorsqu'elles sont froissées<sup id="cite_ref-rnc_2-2">2</sup>. Chaque feuille présente environ 15 nervures secondaires par côté du limbe<sup id="cite_ref-rnc_2-3">2</sup>.</p> <h3><span id="Appareil_reproducteur">Appareil reproducteur</span></h3> <div> <div><img alt="" src="https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/25/Asimina_triloba_-_pawpaw_-_desc-flower.jpg/220px-Asimina_triloba_-_pawpaw_-_desc-flower.jpg" decoding="async" width="220" height="204" srcset="//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/25/Asimina_triloba_-_pawpaw_-_desc-flower.jpg/330px-Asimina_triloba_-_pawpaw_-_desc-flower.jpg 1.5x, //upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/25/Asimina_triloba_-_pawpaw_-_desc-flower.jpg/440px-Asimina_triloba_-_pawpaw_-_desc-flower.jpg 2x" data-file-width="500" data-file-height="463" style="border-width: 1px; border-image-width: initial;" /> <div> <div></div> Fleur d'<em>Asimina triloba</em></div> </div> </div> <div> <div><img alt="" src="https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f2/Owoce_Asymina.jpg/220px-Owoce_Asymina.jpg" decoding="async" width="220" height="220" srcset="//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f2/Owoce_Asymina.jpg/330px-Owoce_Asymina.jpg 1.5x, //upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f2/Owoce_Asymina.jpg/440px-Owoce_Asymina.jpg 2x" data-file-width="1024" data-file-height="1024" style="border-width: 1px; border-image-width: initial;" /> <div> <div></div> Fruit d'<em>Asimina triloba</em></div> </div> </div> <div> <div><img alt="" src="https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/20/Asimina_triloba.jpg/220px-Asimina_triloba.jpg" decoding="async" width="220" height="147" srcset="//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/20/Asimina_triloba.jpg/330px-Asimina_triloba.jpg 1.5x, //upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/20/Asimina_triloba.jpg/440px-Asimina_triloba.jpg 2x" data-file-width="900" data-file-height="600" style="border-width: 1px; border-image-width: initial;" /> <div> <div></div> Graines d'<em>Asimina triloba</em></div> </div> </div> <p>Les fleurs sont solitaires ou réunies en petite grappe, leur port est tombant et elles ont une odeur assez désagréable<sup id="cite_ref-rnc_2-4">2</sup>. Elles apparaissent sur les rameaux de l'année précédente, avant ou pendant l'apparition des feuilles de l'année. Elles sont portées par un pédoncule mesurant un ou deux centimètres de long<sup id="cite_ref-EFloras16_juin_2013_1-3">1</sup> et couvert de poils denses, bruns ou brun-rouge. L'inflorescence est précédée d'une ou deux bractéoles ovales ou triangulaires d’un ou deux millimètres de long et velues<sup id="cite_ref-EFloras16_juin_2013_1-4">1</sup>.</p> <p>D'un diamètre de 4 <abbr title="centimètre">cm</abbr> environ<sup id="cite_ref-rnc_2-5">2</sup> (de 2 à 4 <abbr title="centimètre">cm</abbr>, rarement 5<sup id="cite_ref-EFloras16_juin_2013_1-5">1</sup>), les fleurs ont une symétrie axiale et comptent trois sépales verts et six tépales de couleur rouge bordeaux. Les trois tépales extérieurs sont plus grands et étalés, ceux de l'intérieur sont dressés. Leur pollinisation est assurée par les insectes (entomogamie). Ces fleurs sont hermaphrodites, mais les arbres ne sont pas auto-fertiles. Une pollinisation croisée est nécessaire car les stigmates arrivent à maturité avant les étamines (fleurs protogynes). Cette pollinisation croisée est assurée par un papillon sur le continent américain, mais ce papillon n'existant pas sur les autres continents, cette opération est alors moins automatique et les production de fruits moindres<sup id="cite_ref-3">3</sup>. Chaque fleur compte de 3 à 7 pistils (rarement, jusqu'à 12)<sup id="cite_ref-EFloras16_juin_2013_1-6">1</sup>qui, fécondés donneront autant de fruits.</p> <p>Le fruit charnu, l'asimine, est une baie de forme oblongue, généralement longue de 5 à 15 <abbr title="centimètre">cm</abbr><sup id="cite_ref-rnc_2-6">2</sup><sup>,</sup><sup id="cite_ref-EFloras16_juin_2013_1-7">1</sup>, de couleur verte tirant sur le jaune à maturité. Il contient plusieurs graines aplaties, brunes, de 1,5 à 2,5 <abbr title="centimètre">cm</abbr> de long<sup id="cite_ref-EFloras16_juin_2013_1-8">1</sup>.</p> <p>La chair crémeuse, jaune, est comestible et a un goût particulier qui rappelle à la fois la banane et la mangue.</p> <h2><span id="R.C3.A9partition_et_habitat"></span><span id="Répartition_et_habitat">Répartition et habitat</span></h2> <div> <div><img alt="" src="https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/59/Asimina_triloba_range_map.svg/220px-Asimina_triloba_range_map.svg.png" decoding="async" width="220" height="229" srcset="//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/59/Asimina_triloba_range_map.svg/330px-Asimina_triloba_range_map.svg.png 1.5x, //upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/59/Asimina_triloba_range_map.svg/440px-Asimina_triloba_range_map.svg.png 2x" data-file-width="1300" data-file-height="1353" style="border-width: 1px; border-image-width: initial;" /> <div> <div></div> Aire de répartition</div> </div> </div> <p>L'espèce est originaire de la partie est de l'Amérique du Nord, depuis le Canada (Ontario) et le nord-est des États-Unis (New Jersey, New York), jusqu'au sud-est des États-Unis (Floride, Louisiane).</p> <p>Il pousse sur sols humides, dans les plaines ou les sous-bois.</p> <h2><span id="Histoire.2C_taxinomie_et_syst.C3.A9matique"></span><span id="Histoire,_taxinomie_et_systématique">Histoire, taxinomie et systématique</span></h2> <h3><span id="Histoire_de_la_plante">Histoire de la plante</span></h3> <p>Les premiers écrits concernant les "pawpaws" datent du compte rendu de l’expédition de de Soto qui trouva en 1541 des tribus amérindiennes qui cultivaient le fruit à l’est du Mississippi.</p> <p>Le pawpaw était le dessert favori de George Washington et Thomas Jefferson en cultivait à Monticello<sup id="cite_ref-4">4</sup>.</p> <p>L’asiminier (orthographié "assiminier") est connu en Europe depuis la fin du XVIIIe siècle<sup id="cite_ref-5">5</sup>, mais n’y dépasse généralement pas la taille d’un arbuste.</p> <h3><span id="Histoire_du_taxon">Histoire du taxon</span></h3> <p>La première description scientifique de cette espèce date de 1753 ; elle a été réalisée par le naturaliste suédois Carl von Linné dans son ouvrage <em>Species Plantarum</em>, où il la nomme <em>Annona triloba</em><sup id="cite_ref-6">6</sup>. Le scientifique et mycologue sud-africain Christiaan Hendrik Persoon propose, en 1806, de transférer cette espèce dans le genre <em>Porcelia</em> dans son <em>Synopsis Plantarum</em>, mais cette proposition n'est pas retenue<sup id="cite_ref-7">7</sup>. En 1817, le botaniste et mycologue français Michel Félix Dunal transfère cette espèce dans le genre <em>Asimina</em> dans sa <em>Monographie de la famille des Anonacées</em><sup id="cite_ref-8">8</sup>. Enfin, en 1838, les botanistes américains John Torrey et Asa Gray proposent un transfert dans le genre <em>Uvaria</em> dans <em>A Flora of North America</em>, mais cette nouvelle proposition n’est pas retenue<sup id="cite_ref-9">9</sup>.</p> <p>Cette espèce présente plusieurs synonymes<sup id="cite_ref-10">10</sup>:</p> <ul> <li><em>Annona pendula</em> Salisb.</li> <li><em>Asimina glabra</em> Hort ex K. Koch</li> <li><em>Orchidocarpum arietinum</em> Michx.</li> </ul> <h2><span id="L.27Asiminier_trilob.C3.A9_et_l.27Homme"></span><span id="L'Asiminier_trilobé_et_l'Homme">L'Asiminier trilobé et l'Homme</span></h2> <h3><span id="Utilisation">Utilisation</span></h3> <ul> <li>Les fruits sont consommés aux États-Unis, soit frais, soit transformés en crèmes glacées, sorbets, yaourts ou pâtisseries. Ils sont parfois confondus avec la papaye à cause de leur nom vernaculaire en anglais, pawpaw ou papaw. C'est un fruit peu répandu en dehors des États-Unis. Il est très fragile et ne supporte (difficilement) le transport que s'il est cueilli avant maturité complète. <span title="Ce passage est confus.">Il est nécessaire de le conserver en réfrigérateur (il se conserve environ une semaine).</span><sup>[pas clair]</sup></li> <li>En 2012, des essais de transformation en eau-de-vie ont été réalisés par l'Agroscope de Wädenswil en Suisse, avec des résultats intéressants<sup id="cite_ref-11">11</sup>.</li> <li>C'est aussi un arbuste d'ornement, apprécié pour son feuillage. C'est son utilisation principale en France par exemple.</li> </ul> <h3><span id="Toxicit.C3.A9"></span><span id="Toxicité">Toxicité</span></h3> <p>Les fruits sauvages, bien que généralement comestibles, peuvent déclencher une dermatite chez certaines personnes et parfois une gastro-entérite grave lorsqu'ils sont ingérés<sup id="cite_ref-12">12</sup>.</p> <p>Comme toutes les anones, la plante est également riches en acétogénines, des neurotoxines inhibant la chaîne respiratoire mitochondriale, à l'origine de maladies neurodégénératives telles que la Paralysie supranucléaire progressive et la Dégénérescence cortico-basale.</p> <h3><span id="Culture">Culture</span></h3> <p>L'asiminier est moyennement rustique. <span title="Ce passage nécessite une référence (demandé le novembre 2012).">Les parties aériennes sont atteintes à partir de <span title="32 °F ou 273,2 K">0 </span><abbr title="degré Celsius">°C</abbr> et la plante meurt à partir de <span title="−13 °F ou 248,2 K">−25 </span><abbr title="degré Celsius">°C</abbr></span><sup></sup>.</p> <p>Il préfère un sol de type argileux, profond, riche et frais, avec une ligne d'arrosage en cas de besoin, de pH neutre à légèrement acide.</p> <p>La croissance de l’asiminier est faible les premières années car il commence par développer fortement son système racinaire avec une racine pivot <span title="Ce passage nécessite une référence (demandé le novembre 2012).">d'une fois et demie la hauteur du plant</span><sup>[réf. nécessaire]</sup>. Il vaut donc mieux, quand c’est possible, le semer directement en place (ou à défaut rempoter en pot de plus en plus grand chaque année).</p> <p>Les feuilles de l'arbre jeune de moins de deux ans craignent la forte exposition directe aux rayons du soleil. L'arbre sera plus résistant après plusieurs saisons.</p> <p>L’asiminier se reproduit difficilement par drageon, prélevable au début du printemps. À défaut, il forme naturellement des peuplements épais. Il est préférable de le reproduire par semis direct à l'extérieur. La racine étant très sensible, il faut déplacer la motte de terre avec toutes ces radicelles pour ne pas perdre le plant. Les graines doivent être semées rapidement car elles perdent leurs capacités germinatives en quelques semaines, sauf si elles sont conservées dans le bas d'un réfrigérateur, dans un sachet hermétiquement clos. La conservation peut ainsi durer plus d'une année. En cas de doute des capacités germinatives après cette longue conservation, il suffit d'extraire l'amande d'une graine ; si elle conserve sa fermeté et sa coloration blanchâtre, les autres graines sont indemnes également et prêtes à germer.</p> <p>Il n'est pas produit en pépinière en pot, ni en plein champ. Sa racine ne tolère pas d'être restreint dans un contenant et sa coupe risque d'entrainer la mort de l'arbre.</p> <p>L’asiminier a fait l’objet de nombreuses sélections au début du <abbr title="20ᵉ siècle">xx<sup>e</sup></abbr> siècle et il existe aujourd’hui de nombreux cultivars offrant des fruits de meilleure qualité que les variétés sauvages.</p>
V 48 (3 s)
Graines de Asiminier trilobé (Asimina triloba)
Graines de Dragonnier de...

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Prix 3,50 € SKU: T 96
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<h2><strong>Graines de Dragonnier de Cochinchine (Dracaena cochinchinensis)</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0000;"><strong>5 graines par sachet.</strong></span></h2> <p><em><strong>Dracaena cochinchinensis</strong></em>, le <strong>dragonnier de Cochinchine</strong>, est une plante arborescente monocotylédone de la famille des <em>Liliaceae</em> (ou <em>Dracaenaceae</em>) selon la classification classique, ou des <em>Asparagaceae</em> (ou <em>Ruscaceae</em>) selon la classification phylogénétique.</p> <p>Cette espèce est originaire du Vietnam, Cambodge, Laos et Chine du sud (Yunnan, Guangxi).</p> <p>De toute incision ou blessure s'écoule une résine rouge sang, connue sous le nom de sang-dragon dans les pharmacopées traditionnelles, semblable à celle obtenue avec les dragonniers <em>Dracaena draco</em> des Canaries et <em>Dracaena cinnabari</em> de l'île de Socotra. La Chine qui importait le sang-dragon de l'étranger, découvrit en 1972 qu'il existait des dragonniers sur son territoire susceptibles de lui fournir la précieuse matière médicale<sup id="cite_ref-baidu1_1-0">1</sup>.</p> <p>L'espèce est maintenant menacée en Chine mais elle y est cultivée pour la production de sang-dragon.</p> <h2><span id="Étymologie_et_nomenclature">Étymologie et nomenclature</span></h2> <p>Le nom de genre <em>Dracaena</em> dérive du grec <em>drakaina</em> δρακαινα « dragon femelle », l'épithète spécifique latin <em>cochincinensis</em> désigne la Cochinchine.</p> <p>La première description botanique du taxon a été faite par le botaniste jésuite portugais, João de Loureiro (1717-1791) envoyé en mission en Cochinchine (sud de l'actuel Viêt Nam). Il crée l'espèce <em>Aletris cochinchinensis</em>, dans <em>Flora cochinchinensis: sistens plantas in regno Cochinchina nascentes</em> en 1790<sup id="cite_ref-2">2</sup>. Il donne pour habitat : les jardins cultivés en Cochinchine.</p> <p>En 1972, un botaniste chinois, Cai Xitao 蔡希陶, découvre des spécimens de la plante dans la forêt tropicale de la province du Yunnan, à l'extrême sud de la Chine, près de la frontière du Laos et de la Birmanie. Après avoir été durement persécuté durant la Révolution culturelle, après avoir connu les camps de rééducation (laogai), le professeur Cai fut chargé de rechercher des plantes médicinales susceptibles de soigner les blessures des soldats chinois envoyés au Viêt Nam du Nord pour combattre les Américains<sup id="cite_ref-trees_3-0">3</sup>. Aidé par une équipe de jeunes techniciens, il découvrit un site où abondait les dracénas de l'Asie du sud-est, dans le district de Simao au Yunnan.</p> <p>L'espèce a été ensuite reclassée <em>Dracaena cochinchinensis</em> par le botaniste chinois Chen Xinqi 陈心启 en 1980 dans <em>Zhongguo zhi wu zhi</em> 《中国植物志》. Elle est nommée en chinois 剑叶龙血树 <em>jianye longxueshu</em> soit morphologiquement « dragonnier à feuille en épée ».</p> <h2><span id="Synonymes">Synonymes</span></h2> <p>Selon The Plant List, les synonymes sont<sup id="cite_ref-4">4</sup>:</p> <ul> <li><em>Aletris cochinchinensis</em> Lour., basionyme</li> <li><em>Dracaena saposchnikowii</em> Regel</li> <li><em>Draco saposchnikowii</em> (Regel) Kuntze</li> <li><em>Pleomele cochinchinensis</em> Merr. ex Gagnep.</li> </ul> <h2><span id="Description">Description</span></h2> <p><em>Dracaena cochinchinensis</em> est une plante arborescente monocotylédone de 5 à 10 mètres de haut<sup id="cite_ref-efloras_5-0">5</sup>.</p> <p>Les tiges ramifiées ont l’extrémité rougeâtre, avec des internœuds plus courts que larges, une écorce lisse d'un blanc grisâtre, fonçant avec l'âge.</p> <p>Les feuilles rassemblées à l’extrémité des branches, sont sessiles, en forme d'épée, de 30−100 x 2−5 <abbr title="centimètre">cm</abbr>, à base rougeâtre enveloppant complètement l'internœud.</p> <p>L'inflorescence terminale, en panicule, est de plus de 40 <abbr title="centimètre">cm</abbr>, avec un rachis densément pubescent.</p> <p>Les fleurs rassemblées par 2-5, ont un périanthe blanc laiteux, formé d'un tube de 1,5−2 <abbr title="millimètre">mm</abbr> et 6 lobes de 5−6 <abbr title="millimètre">mm</abbr><sup id="cite_ref-efloras_5-1">5</sup>.</p> <p>Le fruit est une baie orange.</p> <p>En Chine, la floraison a lieu en mars et la fructification en juillet-août.</p> <h2><span id="Distribution">Distribution</span></h2> <p>Le dragonnier de Cochinchine croît au Vietnam, au Cambodge, au Laos<sup id="cite_ref-fan_6-0">6</sup>, et en Chine méridionale (sud du Yunnan, sud-ouest du Guangxi)<sup id="cite_ref-efloras_5-2">5</sup>.</p> <p>Il se rencontre entre 900 et 1 700 <abbr title="mètre">m</abbr> sur des falaises calcaires, ensoleillées, en région tropicale. Il résiste bien à la sécheresse</p> <p>Il est considéré comme une espèce menacée en Chine. Il se raréfie de plus en plus dans la nature en raison de prélèvements excessifs<sup id="cite_ref-fan_6-1">6</sup>. Il ne se trouve cependant pas sur la liste rouge de l'UICN<sup id="cite_ref-efloras_5-3">5</sup>.</p> <p>Le dragonnier de Cochinchine est cultivé pour la production de la matière médicale nommée sang-dragon et comme plante ornementale.</p> <h2><span id="Le_sang-dragon">Le sang-dragon</span></h2> <p>Au fur et à mesure de la croissance de <em>Dracaena cochinchinensis</em>, de la résine s'accumule dans les cellules du xylème, en particulier à l'occasion de traumatismes mécaniques, d'attaque d'insectes ou d'infestation de pathogènes. Ainsi, une contamination par le champignon <em>Fusarium proliferatum</em> peut accroître la production de sang-dragon<sup id="cite_ref-fan_6-2">6</sup>. La résine joue un rôle protecteur en prévenant l'extension de la contamination. La résine peut être extraite avec de l'alcool à 95 %.</p> <p>La résine séchée commercialisée sous le nom de sang-dragon apparait sous la forme de petits blocs solides, pourpre foncé, à la surface brillante.</p> <h3><span id="Histoire">Histoire</span></h3> <p>Toute blessure ou incision du <em>Dracaena cochinchinensis</em> produit une résine rouge foncé. Cette sécrétion est semblable à celle produite par des arbres du même genre, <em>Dracaena draco</em> des îles Canaries et <em>Dracaena cinnabari</em> de l'île de Socotra. La résine de ces deux derniers dragonniers, utilisée comme matière médicale en Europe depuis l'Antiquité, fut appelée par le pharmacologue grec du <abbr title="1ᵉʳ siècle">i<sup>er</sup></abbr> siècle Dioscoride, αἷμα δρακόντιον <em>aima drakontion</em><sup id="cite_ref-8">n 1</sup>, en latin <em>sanguis draconis</em> ; à la Renaissance, elle reçut les traductions dans les langues modernes de <em>sang de dragon</em> (puis sang-dragon) en français et <em>dragon's blood</em> en anglais. Plus tard, l'extension de ces termes fut élargie à la résine rouge tirée du palmier sang-dragon (<em>Daemonorops draco</em>) originaire d'Indonésie ainsi qu'à celle des espèces végétales originaire du Nouveau Monde appartenant aux genres <em>Croton</em> et <em>Pterocarpus</em>.</p> <p>Après la découverte de <em>Dracaena cochinchinensis</em> dans le sud de la Chine à la fin du <abbr title="20ᵉ siècle">xx<sup>e</sup></abbr> siècle, les apothicaires chinois nomment naturellement sa résine d'après le nom qu'ils utilisaient pour la résine du palmier sang-dragon indonésien (麒麟竭,<em>qilinjie</em>), à savoir 血竭 <em>xue jie</em>, morphologiquement <em>xue</em> « sang », <em>jie</em> « desséché », correspondant à la notion de « sang de dragon, sang-dragon »<sup id="cite_ref-baidu2_7-1">7</sup><sup>,</sup><sup id="cite_ref-9">8</sup>, en français.</p> <p>De même que les apothicaires européens élargirent après la découverte de l'Amérique, l'extension du terme <em>sang de dragon</em> aux résines rouges obtenues d'espèces du Nouveau Monde tropical (comme les crotons et ptérocarpus), de même les apothicaires chinois étendirent des termes de la pharmacopée de référence de Li Shizhen (李时珍) (<abbr title="16ᵉ siècle">xvi<sup>e</sup></abbr> siècle) aux découvertes faites à la fin du <abbr title="20ᵉ siècle">xx<sup>e</sup></abbr> siècle dans l'extrême sud de la Chine. Les apothicaires chinois rapportèrent la résine du <em>D. cochinchinensis</em> à une matière médicale d'un ouvrage de Li Shizhen, le Bencao gangmu 本草綱目, publié en 1593 à l'apogée de la pharmacologie chinoise. Cet ouvrage indique que cette matière médicale, le 骐驎竭 <em>qilinjie</em> (de <em>qilin</em> « licorne »), est bonne pour traiter les douleurs soudaines épigastriques et abdominales, qu'elle arrête le saignement d'une blessure, dissout les stases sanguines, soulage la douleur et favorise la régénération des chaires<sup id="cite_ref-10">9</sup>. Dans la quête d'une source toujours plus ancienne, on peut remonter jusqu'au 唐本草 <em>Tang bencao</em> (<abbr title="7ᵉ siècle">vii<sup>e</sup></abbr> siècle) pour trouver une mention du <em>qilinjie</em><sup id="cite_ref-trees_3-1">3</sup>. Par contre, la pharmacopée la plus ancienne 神农本草经 <em>Shennong bencao jing</em> (équivalent chinois de la <em>Matière médicale</em> de Dioscoride, publiée à peu près de la même époque) ne mentionne qu'une seule résine, la 松脂 <em>songzhi</em>, la résine de pin<sup id="cite_ref-bencao_11-0">10</sup>.</p> <p>Parfois on trouve en chinois, des synonymes de <em>xuejie</em> 血竭 calqués sur les termes des langues européennes comme <em>sanguis draconis</em> en latin ou <em>sang de dragon</em> en français. Il s'agit de <em>longxuejie</em> 龙血竭<sup id="cite_ref-12">11</sup>, morphologiquement <em>long</em> « dragon », <em>xue</em> « sang », <em>jie</em> « sec, desséché » ou dans la langue commune 龙血 <em>longxue</em>, « sang de dragon ». Mais s'il est possible de trouver des « os de dragons » (龙骨 <em>longgu</em><sup id="cite_ref-13">n 2</sup><sup>,</sup><sup id="cite_ref-bencao_11-1">10</sup>) dans la pharmacopée traditionnelle, aucune trace de « sang de dragon » (龙血 <em>longxue</em>) n'apparait avant l'époque moderne. Car on sait que symboliquement, le dragon oriental est associé à l'eau (il vit dans les nuages, fait tomber la pluie, est le maitre des sources, il est sage et bienveillant) alors que le dragon européen, associé au paganisme et au mal par le christianisme (il est terrassé par saint Michel), sera ensuite associé au feu, dans les légendes chevaleresques et le folkclore celtique à partir du <abbr title="10ᵉ siècle">x<sup>e</sup></abbr> siècle (il vit sous terre et crache le feu)<sup id="cite_ref-14">12</sup>.</p> <p>Ce n'est qu'après la découverte des sciences européennes en Chine, qu'une terminologie scientifique chinoise spécifique fut créée pour traduire les termes occidentaux. C'est ainsi que <em>dragonnier</em> fut traduit par 龙血树 <em>longxueshu</em>, morphologiquement <em>dragon-sang-arbre</em>, soit « arbre au sang de dragon, dragonnier », et le genre <em>Draceana</em> devint 龙血树属 <em>longxueshushu</em>, avec 属 <em>shu</em> suffixe de genre<sup id="cite_ref-15">n 3</sup>.</p> <p>En édecine chinoise traditionnelle, le sang-dragon <em>xuejie</em> de <em>D. cochinchinensis</em> est généralement prescrit pour stimuler la circulation sanguine pour un patient souffrant de blessures, de stase sanguine ou de douleurs<sup id="cite_ref-fan_6-3">6</sup>.</p> <h3><span id="Pharmacologie">Pharmacologie</span></h3> <ul> <li>Constituants chimiques du sang-dragon</li> </ul> <p>Les constituants chimiques du sang-dragon du dragonnier de Cochinchine sont en premier lieu des flavonoïdes puis des terpénoïdes, stéroïdes, saponines et composés phénoliques.</p> <p>Parmi les flavonoïdes, il a été isolé des chalcones (2,4,4'-trihydroxychalcone, louréirine A, B et C etc.), des dihydrochalcones, des flavanones, des flavanes, des flavonoïdes polymériques et des cétones chromogènes<sup id="cite_ref-fan_6-4">6</sup>. Ensuite, ont été isolés des terpènes, des stéroïdes, des saponines stéroïdiques ainsi que des composés phénoliques et des lignanes.</p> <ul> <li>Étude <em>in vitro</em></li> </ul> <p>En Chine, plusieurs équipes de chercheurs étudient la composition chimique et la pharmacologie du sang-dragon du <em>Dracaena cochinchinensis</em> en s'inscrivant ouvertement dans la continuité des études multimillénaires de la pharmacopée chinoise. Fan et als<sup id="cite_ref-fan_6-5">6</sup> (2014) ont fait une revue détaillée de 63 travaux publiés en Chine dont nous allons extraire quelques exemples.</p> <p>Huang et al.<sup id="cite_ref-16">13</sup> (1994) montrent que le sang-dragon inhibe une thrombose artérielle expérimentale en facilitant la circulation du sang et dispersant la stase sanguine. Selon Nong et als.<sup id="cite_ref-17">14</sup> (1997), le sang-dragon a aussi un effet hémostatique puisqu'ils ont montré expérimentalement qu'il peut réduire le temps de coagulation du sang de la souris. D'autres études ont montré que le sang-dragon pouvait faire diminuer significativement le taux de glucose sanguin de souris hyperpglycémiques (Zhang et als, 2002), inhiber la croissance du <em>Staphylococcus aureus</em>, du <em>Diphteria bacilli</em> et du <em>Bacillus anthracis</em> (Chen et als., 1999), stimuler la réparation des tissus. À cet effet, Liu et als<sup id="cite_ref-18">15</sup> ont implanté un tissu de kératocytes humains sur la peau lésée de souris. Le groupe qui reçut un traitement oral et externe par le sang-dragon montra un développement accrus de l'épiderme transplanté, une prolifération de capillaires dans le derme et une sécrétion augmentée de collagène.</p> <p>De nombreuses études citées n'apportent cependant pas beaucoup de garanties de validité. Beaucoup ne sont pas des études randomisée en double aveugle. Elles suggèrent seulement de possibles effets analgésiques ou anti-diabétiques.</p> <ul> <li>Études cliniques</li> </ul> <p>Une étude randomisée en double aveugle a évalué l'efficacité de capsules de sang-dragon contre l'angine de poitrine (angor pectoris). Le groupe ayant reçu le traitement a vu que leurs électrocardiogrammes (ECG) s'amélioraient significativement par rapport au groupe témoin<sup id="cite_ref-19">16</sup>.</p> <h2><span id="Culture">Culture</span></h2> <p>Le dragonnier de Cochinchine est cultivé comme plante ornementale dans les jardins des régions tropicales.</p> <p>Il peut être cultivé aussi en pot à l'intérieur ou sous une véranda<sup id="cite_ref-baidu2_7-2">7</sup>.</p> <p><br /><br /><br /></p> <br />
T 96
Graines de Dragonnier de Cochinchine (Dracaena cochinchinensis)
Graines de Groseillier doré...

Graines de Groseillier doré...

Prix 2,25 € SKU: V 129 G
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5/ 5
<meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=UTF-8" /> <h2><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Graines de Groseillier doré ou Gadellier doré</span></em></strong></h2> <h3><span style="color: #ff0000;"><strong>10 graines par sachet.</strong></span></h3> <p>Arbuste caduque à port érigé, d'une hauteur de 1m à 2m 50 . Croissance assez rapide</p> <p>Abondant feuillage vert devenant rouge orangé en automne.</p> <p>Floraison parfumée en grappes jaunes au printemps . Floraison abondante très décorative</p> <p>Fruits noirs de 1 cm en fin d' été , comestibles (goût rappelant le cassis en plus doux) . Excellents frais ou pour confitures et gelées</p> <p> </p> <p><strong><span style="text-decoration: underline;">Culture:</span></strong><br />Tout sol pas trop sec l'été<br />Soleil ou mi-ombre</p> <p><strong><span style="text-decoration: underline;">Rusticité:</span></strong><strong>-28°C</strong></p> <p><strong><span style="text-decoration: underline;">Semis:</span></strong></p> <p>Semis en extérieur en terrines de fin septembre à fin novembre ou bien stratification froide 3 mois au bas du frigo à 5°C puis semis au printemps</p>
V 129 G (10 S)
Graines de Groseillier doré ou Gadellier doré
Graines de Passiflora...

Graines de Passiflora...

Prix 3,55 € SKU: V 28 PA
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5/ 5
<h2><strong>Graines de Passiflora alnifolia</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0808;"><strong>5 graines par sachet.</strong></span></h2> <p>Une plante grimpante élancée et vrillée avec des feuilles bifides et des fleurs blanches, violettes et lavande au doux parfum sont suivies de petits fruits délicieux sur cette plante grimpante élancée et vrillée qui n'a pas de lobe. Passiflora alnifolia est originaire des forêts pluviales de montagne et des forêts nuageuses des Andes, principalement en Colombie et en Équateur entre 1700 et 3200 m.</p> <p>Cette plante fournira du nectar et du pollen aux abeilles, aux papillons et à de nombreux autres types d'insectes pollinisateurs.</p>
V 28 PA (5 S)
Graines de Passiflora alnifolia

Graines de Passiflora biflora

Graines de Passiflora biflora

Prix 4,55 € SKU: V 15
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<h2><strong>Graines de Passiflora biflora</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0808;"><strong>5 Graines par sachet.</strong></span></h2> <p>Passiflora biflora est une espèce à deux fleurs de la famille des Pasifloraceae. La passiflore est exotique. Il est connu pour ses fleurs blanches qui apparaissent par paires.</p> <p>Passiflora biflora est une liane à croissance rapide avec des feuilles semi-coquilles. En une saison, il peut atteindre plus d'un mètre. Sa résistance n'est pas complètement connue, mais il résiste probablement au gel. Certaines sources affirment qu'il peut supporter des températures basses jusqu'à -10 ° C. Passiflora biflora pousse à mi-ombre. En une saison, il peut atteindre plusieurs mètres.</p> <p>Propagation par graines. Les graines doivent germer pendant quelques semaines. Les graines doivent être plantées dans un sol chaud et trempées dans de l'eau chaude pendant 24 à 48 heures avant la plantation. Le traitement à l'acide gibbérellique aide bien.</p> <p>Il peut également être multiplié par bouturage. Il est cultivé comme plante ornementale en raison de ses belles fleurs blanches et de ses délicieux fruits.</p> <p>La patrie de cette plante est le Nouveau Monde du Mexique à la Colombie et au Venezuela. Il pousse à l'état sauvage dans certaines parties du sud de la Floride.</p>
V 15
Graines de Passiflora biflora
Graines Passiflora adulterina

Graines Passiflora adulterina

Prix 4,85 € SKU: V 22 PAS
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<h2><strong>Graines Passiflora adulterina</strong></h2> <h2><span style="color: #ff0808;"><strong>5 graines par sachet.</strong></span></h2> <p>Une espèce rare de Passiflora a été découverte en Colombie en 2015.<br />Grimpante vivace persistante de 5 m (jusqu'à 20 m dans la nature) aux feuilles alternes, elliptiques, vert foncé, veinées, et aux bords des feuilles finement dentelées. Les longues fleurs roses pendantes apparaissent à l'aisselle des feuilles, suivies de fruits voyants comestibles et savoureux. Il porte de nombreux fruits en forme de papaye.</p> <p>En hiver, il perd généralement la partie aérienne, donc au printemps, les jeunes pousses repoussent. Il fleurit du printemps à l'automne. Il est stocké à l'extérieur du printemps à l'automne, et dans une pièce fraîche en hiver.</p> <p>Résistant à l'hiver jusqu'à -6C</p>
V 22 PAS (5 S)
Graines Passiflora adulterina